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LE COLLEGE RECRUTE

avril 2025
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Sainte Maxime

SAINTE–MAXIME, LA DOUCEUR DE VIVRE EN TOUTES SAISONS…

 

Vue de la Ville de Sainte Maxime

Sainte-Maxime, destination élégante et familiale, offre un climat tout à fait particulier avec un ensoleillement exceptionnel de près de 300 jours par an et une température hivernale comprise entre 12 et 19 degrés celsius.

Avec ses 11 kilomètres de rivage méditerranéen, Sainte-Maxime présente l’authenticité de la Provence avec ses maisons aux vieilles tuiles, son marché typique garni de produits du terroir, ses ruelles commerçantes et sa promenade ombragée.

Vous vous aventurerez dans le massif des Maures pour de belles randonnées dominant le golfe de Saint-Tropez. Puis dans cet environnement où se mêlent les embruns à la chlorophylle, vous profiterez des nombreuses activités et loisirs et ce pour vous et vos enfants.

Sainte-Maxime vit au rythme des fêtes traditionnelles et des grandes manifestations tout au long de l’année et l’été en est le point d’orgue avec pas moins de 40 spectacles et concerts gratuits pour la plupart et ce tous les soirs !

En attendant de vous accueillir, partez à la découverte de Sainte-Maxime !

Présentation du collège

 

Un environnement hors du commun

Collège BERTY ALBRECHT Sainte MAXIME Sainte MAXIME

 

Situé au pied des collines, à proximité immédiate du plateau sportif et du parc aquatique, au nord de l’agglomération maximoise, le collège Berty Albrecht bénéficie d’une architecture innovante et adaptée.

Les bâtiments et les équipements extérieurs proposent tout ce qui est nécessaire -et même plus- pour bien étudier et pour vivre ensemble, élèves, professeurs, personnel administratif et technique, tout au long de l’année scolaire.

 

 

 

 

Les horaires d’ouverture

HORAIRES DU COLLEGE BERTY ALBRECHT

Qui était Berty Albrecht?

Berty Albrecht dans les années 30

Dans les années 1930 Un mois avant son arrestation

 

 

Née à Marseille le 15 février 1893 dans une famille protestante venue de Suisse (les Wild), elle appartient à la bonne bourgeoisie marseillaise. Infirmière de la Croix-Rouge, Berty joue un rôle important

dans les hôpitaux militaires pendant la guerre 1914-1918. Mariée à un banquier, mère de deux enfants, elle se passionne pour la justice sociale et milite pour les droits des femmes en particulier après avoir rencontré des socialistes et féministes anglaises lors de son séjour à Londres où elle réside avec sa famille entre 1924 et 1931.

 

Installée à Paris en 1931, elle fonde une revue où elle réclame pour la femme l’égalité dans la famille et des droits liés à la contraception qui est alors interdite et réprimée en France

Membre de la Ligue des Droits de l’Homme, elle lutte pour la paix et apporte son soutien aux réfugiés allemands victimes du nazisme à partir de 1933. Entre 1930 et 1938 elle réside souvent à Ste-Maxime où elle possède une maison : la Farigoulette (Beauvallon.) En 1937, elle devient surintendante d’usine (assistante sociale) pour travailler à l’amélioration de la condition ouvrière.

 

Après la défaite de la France face à l’Allemagne nazie en juin 1940, elle entre en Résistance au mois de décembre. Elle fonde avec Henri Frenay le mouvement : Combat. Arrêtée deux fois en 1942 par la police de Vichy, elle parvient à s’échapper. Elle écrit à son mari : « La vie ne vaut pas cher, mourir n’est pas grave. Le tout, c’est de vivre conformément à l’honneur et à l’idéal qu’on se fait. »

 

De nouveau arrêtée, le 28 mai 1943, à Mâcon par la Gestapo cette fois, elle subit des tortures. Transférée, à Paris à la prison de Fresnes, on ne la reverra plus vivante. Son décès est enregistré le 31 mai, les causes sont restées longtemps inconnues, son corps retrouvé dans le cimetière de la prison en mai 1945 ne permet dans déterminer la cause. Il est admis qu’elle s’est donnée la mort par pendaison. Elle sera inhumée au Mont Valérien avec 15 autres Compagnons de la Libération dont une autre femme. Elle recevra de nombreuses décorations à titre posthume dont celle de la Médaille militaire, rarement attribuée à une femme.

 

 

Les valeurs qu’elle incarne –dévouement, engagement pour les autres, don de soi, courage, lucidité dans l’action, opiniâtreté dans les combats contre l’inacceptable- si elle les a portées à un niveau exceptionnel, sont celles de la République, celles de la citoyenneté. Elles doivent donc, naturellement, constituer le fondement d’un projet éducatif actuel et moderne, le nôtre. Et si nous avons choisi de donner le nom de cette femme, exemplaire à plus d’un titre, à notre collège, c’est pour ne jamais l’oublier.

Le Principal

 

 

Berty ALBRECHT (1893-1943)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les années 1930. Un mois avant son arrestation.

 

 

 

Née à Marseille le 15 février 1893 dans une famille protestante venue de Suisse (les Wild), elle appartient à la bonne bourgeoisie marseillaise. Infirmière de la Croix-Rouge, Berty joue un rôle important

dans les hôpitaux militaires pendant la guerre 1914-1918. Mariée à un banquier, mère de deux enfants, elle se passionne pour la justice sociale et milite pour les droits des femmes en particulier après avoir rencontré des socialistes et féministes anglaises lors de son séjour à Londres où elle réside avec sa famille entre 1924 et 1931.

 

Installée à Paris en 1931, elle fonde une revue où elle réclame pour la femme l’égalité dans la famille et des droits liés à la contraception qui est alors interdite et réprimée en France

Membre de la Ligue des Droits de l’Homme, elle lutte pour la paix et apporte son soutien aux réfugiés allemands victimes du nazisme à partir de 1933. Entre 1930 et 1938 elle réside souvent à Ste-Maxime où elle possède une maison : la Farigoulette (Beauvallon.) En 1937, elle devient surintendante d’usine (assistante sociale) pour travailler à l’amélioration de la condition ouvrière.

 

Après la défaite de la France face à l’Allemagne nazie en juin 1940, elle entre en Résistance au mois de décembre. Elle fonde avec Henri Frenay le mouvement : Combat. Arrêtée deux fois en 1942 par la police de Vichy, elle parvient à s’échapper. Elle écrit à son mari : « La vie ne vaut pas cher, mourir n’est pas grave. Le tout, c’est de vivre conformément à l’honneur et à l’idéal qu’on se fait. »

 

De nouveau arrêtée, le 28 mai 1943, à Mâcon par la Gestapo cette fois, elle subit des tortures. Transférée, à Paris à la prison de Fresnes, on ne la reverra plus vivante. Son décès est enregistré le 31 mai, les causes sont restées longtemps inconnues, son corps retrouvé dans le cimetière de la prison en mai 1945 ne permet dans déterminer la cause. Il est admis qu’elle s’est donnée la mort par pendaison. Elle sera inhumée au Mont Valérien avec 15 autres Compagnons de la Libération dont une autre femme. Elle recevra de nombreuses décorations à titre posthume dont celle de la Médaille militaire, rarement attribuée à une femme.

 

Accompagnement personnalisé

Tous les élèves ont dans leur emploi du temps une heure d’accompagnement personnalisée, au cours de laquelle ils sont pris en charge par un profresseur ou un AED, afin de bénéficier d’un soutien adapté à chaque difficulté.

 

 

   

Téléphone : 04 98 12 92 60
Fax : 04 98 12 92 61 

Mél
mailto:ce.0830039s@ac-nice.fr

 

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